Au début de l'été dernier, il s'est produit chez nous divers changements. Je me suis retrouvée au chômage et mon mari a changé de lieu de travail. Dès lors il avait besoin de la voiture tous les jours et je n'avais pas de moyen de transport à ma disposition. J'ai alors décidé d'utiliser une bonne partie de mon temps à prier, en me tournant vers mon Père-Mère Dieu. Le psaume 23 m'a été d'une grande aide: « L'Éternel est mon berger: je ne manquerai de rien »; je m'arrêtais pour réfléchir à ce que signifiait pour moi chaque verset. Dieu pourvoit; j'ai reconnu que Dieu était la seule source de ce dont j'avais besoin, de ce dont tous Ses enfants sur cette terre avaient besoin, la source de toute acitivité. Il répond, en vérité, à tous nos besoins.
« Quand je marche dans la vallée de l'ombre... », quand selon les apparences je n'ai pas de travail, « je ne crains aucun mal », j'ai confiance en l'Éternel. Le verset suivant m'a fait particulièrement réfléchir: « Tu dresses devant moi une table, en face de mes adversaires. » Qui étaient ces adversaires ?
Ce n'étaient pas des personnes, ça j'en étais sûre. C'étaient des pensées comme celles-ci: Il y a trop de chômeurs et pas assez de places; la situation économique est mauvaise; il y a un manque d'emplois à temps partiel; nous habitons dans un endroit éloigné de tout; nous avons trois enfants: tout cela semblait constituer, au premier abord, des obstacles. Il fallait remplacer ces pensées erronées par les faits de l'être véritable, pour moi et pour autrui.
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